Première compilation de street art pour cette année 2018.
La photographie de street art ne présente pas de difficulté particulière, il faut généralement veiller à trouver le bon angle de prise de vue notamment quand il y a des visages où il est important de capter l’expression du regard en l’orientant directement vers l’objectif.
Les photos 18-0535 à 18-0565 ont été prises sur les palissades du chantier du Couvent des Jacobins (le nouveau centre des congrès de de Rennes).
Les photos 18-737 à 18-750 viennent du parking le long du boulevard du Colombier qui se renouvelle régulièrement. C’est un terrain de chasse souvent fructueux bien que les fresques là aussi soient parfois d’un intérêt assez inégal.
La photo 18-1076 a été prise dans une ruelle qui débouche sur la rue St Melaine.
Les photos 18-1140 à 18-1146 viennent d’un passage sous terrain à proximité de l’université de Villejean que j’ai emprunté en allant photographier un nouveau bâtiment de la cité universitaire à l’architecture particulière (je mettrais des photos dans un prochain post). D’ailleurs c’est souvent ça le street art on tombe dessus sans s’y attendre.
Enfin les deux dernières (18-1264 et 18-1265) viennent de la place Saint Anne. La première est une fresque qui décore la façade d’une crêperie et la seconde est juste à côté sur une palissade du chantier du métro. Le grapheur de ce personnage vert et dentu que l’on retrouve à d’autres endroits dans Rennes s’interroge manifestement sur l’origine du nom de la Place Saint Anne !!
Le street art est toujours aussi dynamique à Rennes, nul doute que d’autres sorties photos viendront compléter cette moisson de 2018, j’ai déjà quelques sites d’identifiés.
Bon sur l’aspect purement photographique certains disent que l’exercice ne présente que peu d’intérêt. Moi j’aime bien ces œuvres éphémères dont certaines sont de grande qualité. Je trouve utile de les immortaliser par la photographie et même si cela ne permet pas une grande créativité, la façon de les prendre à quand même son importance. Et puis ces photos resteront un (modeste) témoignage de notre temps. 🙂